When the Palestinians say "End of occupation", What do they mean ?

Is there a solution to the Israeli-Palestinian problem ?

Vidéos des discours des palestiniens

A Short History of Israel

Guy Millière fait un petit Rappel des faits sur Israël. 

Israël mérite d'être défendu

tortures, abus et discriminations dans les prisons de l'autorité palestinienne ne choquent personne The wonderful life of gay Palestinians

Vous-avez dit retour de l'antisémitisme ? Des Israéliens virés parce qu'ils sont... Israéliens !

"la gauche radicale n'aime les juifs que lorsque ceux-ci sont non seulement déjudaïsés (Marx, La Question juive), mais surtout réduits à l'état de diasporas passives incapables de se défendre et dont la douleur peut être instrumentalisée à l'envi dans le but cynique de délégitimer l'idée même d'Etat-nation par essence «fasciste». Inversement, le juif est considéré comme son pire ennemi dès lors qu'il revendique lui aussi son droit à un foyer national, à la souveraineté et à la sécurité. "

 Les socialistes ont refusé de soutenir la proposition d'un député européen qui demandait au PE [parlement europen], en juillet 2001, de suspendre son aide à des manuels scolaires antisémites.

Dans les manuels scolaires palestiniens, entièrement financés par l'UE, la Palestine s'étend du Jourdain à la Méditerranée

Un grand jour aussi pour les Européens. Ils savent que les livres peuvent être des armes. C'est pourquoi l'aide à l'éducation était un élément clé du dispositif de paix européen en Palestine. Dans le système éducatif palestinien, rien ne fonctionne sans l'Europe. Les bâtiments, les salaires, et même les manuels scolaires ont été financés par Bruxelles pour un montant qui excède les 300 millions d'euros depuis les accords d'Oslo en 1993. De plus, l'impression même des livres de classe a été financée par l'Europe des Six, sous coordination italienne. Les Palestiniens avaient donné aux Six l'assurance qu'ils pourraient examiner le contenu des livres à l'avance. Mais, le moment venu, les Palestiniens n'ont pas tenu leurs promesses. Satisfaits que les anciens livres ouvertement antisémites soient remplacés, les Italiens eurent la courtoisie de passer sous silence la violation de cet accord. 

A peine les livres furent-ils rendus publics qu'une volée de critiques s'éleva chez les spécialistes occidentaux  : en dépit d'un certain progrès lié au ton plus moderne, tout lecteur de ces livres devait admettre que l'idée de paix n'y figurait nulle part. Il n'était fait mention ni du processus de paix, ni des accords d'Oslo.
Il est vrai qu'on trouvait des appels à la tolérance religieuse, mais ils ne concernaient que les musulmans et les chrétiens, les juifs n'étant mentionnés que dans un contexte historique. Leur lien avec la Terre Sainte était limité à l'Antiquité. La réinstallation d'une population juive (fin du 19ème siècle, début du 20ème ) était appelée « infiltration ». Il n'y avait pas d'incitation explicite au terrorisme, bien que les « Martyrs palestiniens » fussent glorifiés, comme par exemple « l'Ingénieur Ayyash », qui organisa des attentats- suicides dans les années 1990 et qui causa la mort de dizaines d'Israéliens. L'État d'Israël n'existait pas, n'était mentionné sur aucune carte. À la place, on trouvait des termes comme « ligne verte », « l'intérieur du pays », « le pays de 1948 ». Les villes fondées par les Israéliens, comme Tel-Aviv, n'étaient pas mentionnées. À l'inverse, le nom de Palestine, associé au blason de l'Autorité d'Arafat, apparaissait partout, y compris sur la couverture des livres. Cet État s'étendait du Jourdain à la Méditerranée.

Abou Houmus, le ministre de l'Éducation palestinienne, justifia ainsi devant le « Los Angeles Times » la disparition de l'État d'Israël des manuels scolaires : « Les frontières définitives d'Israël n'ont pas encore été définies. Quand cela sera fait, nous procéderons comme nous le dira le gouvernement. Pour l'instant, nous laissons cela aux politiciens. » Il continua en expliquant qu'ils utilisaient les cartes en usage dans le monde arabe, et qu'on ajouterait des chapitres sur la paix avec Israël dès qu'un traité de paix définitif aurait été signé. En d'autres termes, un programme de guerre avait été introduit en 2000. 

La controverse sur les manuels scolaires atteignit l'Europe quelques semaines plus tard. Le 15 novembre 2000, François Zimeray, député européen socialiste français, posa une question devant la Commission européenne. Il voulait savoir pour quelle raison elle finançait « un système éducatif où les manuels scolaires étaient des manifestes antisémites relevant des « lois sur l'incitation à la haine raciale » dans tous les pays de l'Union européenne ». Le parlementaire européen demanda également quelle sorte de contrôle exerçait l'Union européenne. Chris Patten, Commissaire aux Affaires étrangères, répondit que L'UE ne finançait pas l'impression des livres de classes. Cette formulation était techniquement exacte, mais cela n'en était pas moins une échappatoire. Bien que l'UE ne puisse exercer une influence directe sur les actions de six de ses États membres, en tant que membre du « donor forum » (organisme donateur) international, elle finançait bien la commission des manuels scolaires palestiniens, de même que de nombreux professeurs. L'Union européenne était-elle donc indifférente au contenu de l'enseignement donné par professeurs payés par elle ? 

Le député Zimeray n'abandonna pas la partie et attaqua le Commissaire européen : « Je vous ai posé des questions précises sur un sujet important. Allez-vous, oui ou non, conditionner les aides financières de l'UE au respect des droits de l'homme ? » La réponse de Patten fut : « Nous évoquerons ce sujet avec les Palestiniens. » 

Dans le but d'observer les progrès qui avaient été faits, le parlementaire européen CDU (Union des Démocrates Chrétiens allemands) Armin Laschet se rendit chez Arafat en juillet 2001. Ses conclusions furent qu'aucun changement n'avait eu lieu : personne n'avait modifié le nouveau matériel pédagogique. Pire encore, les anciens livres antisémites avaient été réimprimés, avec l'aide des nations européennes dont les noms figuraient sur la couverture. Armin Laschet interrogea directement Yasser Arafat. Mais Arafat lui répondit qu'il ne voyait aucune raison pour modifier les nouveaux livres et qu'il n'avait pas plus d'argent pour remplacer les anciens. Mais Arafat oublia de préciser que le gouvernement américain lui avait déjà proposé depuis longtemps de financer le remplacement immédiat et total des manuels scolaires. Cette offre avait été rejetée par Arafat qui préférait rééditer une version légèrement adoucie des anciens livres de combat avec l'aide des malléables Européens. 

Les socialistes ont refusé de soutenir la proposition d'un député européen qui demandait au PE, en juillet 2001, de suspendre son aide à des manuels scolaires antisémites

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L'Union Européenne est fière de sa politique équilibrée entre les Israéliens et les Palestiniens. Mais alors qu'elle met en accusation le Premier ministre Ariel Sharon pour sa politique d'occupation, pour la construction d'implantations et pour sa réticence vis-à-vis de la paix, ils veulent ignorer ce que fait Yasser Arafat. Pour certains, l'effondrement d'une figure symbolique de la gauche est inacceptable alors que, pour d'autres, on ne doit pas laisser filer le dernier partenaire possible pour la paix. Le résultat final de cette politique est que l'on refuse de fournir des pièces détachées pour ses tanks à Israël et, en même temps, les mêmes refusent de reconsidérer les aides budgétaires à Arafat. 

 Die Zeit 


J'ai eu l'embarras du choix, entre les livres d'histoire pour petit Palestinien, où on apprend que la shoah n'a jamais existé, que les Juifs se sont fait détester sur la planète entière pour leur méchanceté et leur perfidie et par le fait qu'ils se distinguent des autres êtres humains, par un appendice caudal, " qu'ils cachent sous leur robe ou leur pantalon ". Entre les programmes télévisés pour enfants palestiniens, où de charmants bambins chantent : " Je veux être un martyr et mourir en tuant des Juifs .

Un poème enfantin, très diffusé sur les ondes palestiniennes, au mois de décembre  : " Je suis un Palestinien, parce que j'aime mon destin, et mon destin est de voir mon sang versé pour tracer les chemins de la liberté. Mon destin est d'être une bombe humaine. Ô ennemis, sachez que je rencontrerai Allah en martyr, dans une odeur de musc et parmi les vierges. Nous libérerons mon pays, et nous n'oublierons pas Haïfa, Acre, Tel Aviv ou Hebron. Je dois le dire, toute cette terre est à nous ".

Quelques phrases d'Arafat pour finir. Elles ont quelques semaines à peine : " Vivent nos martyrs ! Un martyr à Jérusalem vaut soixante-dix martyrs ailleurs, car nous sommes en terre sainte ". " Nos ennemis ne comprennent pas qui nous sommes. La mère d'un martyr ne pleure pas la mort de son fils. Elle se réjouit qu'il ait tué autant de Juifs. Et elle dit  : j'ai d'autres enfants disponibles pour le martyre "

Guy Millière


If we were to follow the advice we have given Israel for the past decade, we would respond to last week's terror attacks by opening up negotiations with Osama bin Laden. We would invite him to Camp David for peace talks, where we would agree to install him as dictator of his own quasi-government, supported with American foreign aid. After every new bombing and every new slaughter of American citizens, we would have to declare our renewed dedication to this "peace process" and invite bin Laden back for more negotiations. We would have to smile and believe his lies every time he tells us that he just can't control the suicide bombers who keep laying waste to our cities.
If this sounds utterly repugnant—if it sounds like a prescription for suicide—remember that this has been our officially sanctioned Middle East policy for the past eight years. What America owes Israel now is a long, abject apology—and carte blanche to do whatever is necessary to fight Palestinian terrorism. That includes arresting Arafat, shutting down his Palestinian Authority, and then going after the primary state sponsor of Palestinian terrorism: the dictatorship of Syria.


Bien avant le départ des puissances coloniales et la création de l'Etat d'Israël, la xénophobie des mouvements nationalistes arabes les avait engagés au départ. Une série de pogroms avaient éclaté dans plusieurs capitales : en Irak en 1941 (le Farhoud, c'est à dire le pogrom), à Tripoli en Lybie en 1945, en Syrie en 1944 (la majeure partie des Juifs quitta alors le pays), à Alep et Aden en 1947. En 1948, la guerre décrétée sur l'Etat d'Israël au lendemain de sa proclamation - et perdue - par six Etats arabes, devait conduire à une aggravation de la condition juive . De 1948 à 1949, des centaines de Juifs furent internés dans des camps en Egypte. En 1956, la nationalité égyptienne fut retirée aux " sionistes " (définis " non une religion mais le lien matériel et spirituel entre les sionistes et Israël "). En 1957, leurs biens furent mis sous séquestre. En Irak, en 1948, le sionisme fut rangé dans la catégorie des crimes d'opinion, passibles de sept ans de prison et d'une amende. En 1950, ils y furent privés de leur nationalité et, en 1951, dépouillés de leurs biens.


Peace requires the cessation of Arab violence, particularly terrorism. To attain it, Israel is supposed to surrender territories crucial to its continued security—territories that were won in the war instigated by Arab countries in 1967. To attain land, however, the Arabs are supposed to concede nothing; they need only withdraw their use of force. Like any aggressor, they are, in essence, holding the Israelis hostage. And like any victim, Israel, by paying the ransom, gains no value that it did not already have a right to.
Evading the fact that Israel is being asked to cave in to extortion, advocates of the "peace process" treat Arab and Israeli claims as morally equivalent. They ignore the fact that the Mideast is dominated by Arab monarchies, theocracies and dictatorships—while Israel is a free country standing as the lone bastion of Western civilization in that region. It is only the citizens of Israel—Arabs and Jews alike—who enjoy the right to express their views, to form political parties, to elect their government.

Under Arafat's Palestinian Authority, Palestinians are subject to ruthless censorship, in contrast to Israel's freedom of speech; expropriation and summary executions in contrast to the objective rule of law; and dictatorial edicts in contrast to political and economic liberty. Any Arab who values individual rights over tribalist collectivism—production and trade over statism and terrorism—would readily choose to live under Israeli rule rather than in a Palestinian state.

The function of government is to protect the rights of its citizens. Only a free nation, like Israel, is entitled to invoke a moral right to exist. There can be no right to establish a state that consistently tramples upon rights. That is why this conflict is, fundamentally, a moral one. A concession by Israel of land for peace is a concession that it is an "oppressor"—it is a surrender of its moral legitimacy. Once Israel surrenders that principle, and accedes to a Palestinian state, it invites its own destruction.

A sponsor of such terror groups as Islamic Jihad and Hamas, Arafat has continually refused to prosecute Arab terrorists living under his jurisdiction. A sovereign Palestinian state would thwart Israel's ability to apprehend such terrorists, and would enable them to strike more effectively. Even worse is the prospect that such a state could readily serve as a beachhead for a concerted "jihad" against Israel by its many Arab enemies.

Far from securing peace, compromises only weaken Israel and embolden its enemies. When Nazi Germany was appeased in 1938 by being allowed to claim Czechoslovakia as part of the Aryan people's "homeland"—an earlier version of "land for peace"—the result was to encourage Hitler to start a world war.


On découvre ainsi une innombrable jeunesse, d’origine arabe mais française née de parents français, complètement fascinée par ce qui se passe, et qui prend fait et cause pour les Palestiniens, en dehors de toute considération politique, sur la seule base de l’appartenance ethnique et religieuse.
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La France découvre ainsi, avec un effarement compréhensible, qu’un pourcentage non-négligeable de sa population nationale ne se sent en réalité aucun lien avec la République, ses institutions et ses valeurs, et qu’une large frange des Musulmans français se considère bien davantage comme musulmane et arabe que comme française.
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Alors, les penseurs de France peuvent bien faire de subtils distinguos entre antisémitisme et judéophobie, le pays se retrouve, stupéfait et désarmé, face à une flambée d’antisémitisme, face à un communautarisme radical qui recrute largement chez les jeunes arabes sans perspectives des cités, face à la constitution de ghettos qui se rejettent les uns les autres — noirs, blancs, arabes — en une désolante guerre des pauvres.
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D'abord en 1995, on a vu Arafat torpiller tous les efforts occidentaux pour créer des parcs industriels, qui auraient pu employer sa population désoeuvrée et lui redonner une dignité.
Ensuite en 1996, nous l'avons vu glorifier le spécialiste en bombes humaines Yéh'yah A'yashe. Et surtout nous l'avons vu installer un réseau parfait d'écoles, de camps d'été, d'universités, de journaux de réseaux de radios et de télévisions et de sites web qui, non seulement niaient notre existence, mais prêchaient la haine au vitriol la plus antisémite, que vous, Français d'après-guerre, détestez sûrement.
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Maintenant, l'Israélien moyen est convaincu qu'Arafat est un fasciste. On avait aussi offert à Hitler les territoires qu'il demandait, pour découvrir après coup qu'il n'y avait pas de limite à ses appétits, car pour lui la guerre n'était pas seulement une menace mais un désir réel. Voilà ce qu'est le fascisme, la croyance (répétée justement par Benito Mussolini) que seuls les citoyens qui se battent ensemble deviennent une nation; ce qui explique pourquoi Arafat est plus intéressé par la conquête de notre état que par la construction du sien!
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Vous nous avez promis une démocratie à nos portes, et nous découvrons une dictature. Vous nous avez promis une autorité laïque, mais ils ont rejoint les pires théologiens fanatiques. Vous nous avez promis qu'ils respecteraient les accords signés, or ils les ont tous dénoncés. Vous nous avez promis qu'ils abandonneraient les méthodes violentes, or ils nous tuent délibérément, dans la rue, partout, des femmes, les bébés dans les bras!

7 mars 2002, source 


Pour la deuxième année de suite, le rapport de la Commission nationale consultative des droits de l'homme, sorte de baromètre du racisme en France, constate une forte persistance des violences et menaces racistes et antisémites. Une part importante de ces violences fait écho à l'actualité internationale, notamment au conflit israélo-palestinien


La collusion entre islamisme et extrême droite n'est d'ailleurs pas nouvelle et trouve ses racines dans l'alliance entre Hitler et les musulmans pendant la Seconde guerre mondiale. Le grand Mufti de Jérusalem, Hadj al-Husseini, demanda aux mahométants du monde entier de se battre aux cotés de l'Allemagne nazie. C'est ainsi par exemple qu'en Bosnie musulmane furent créées deux divisions SS, Hantchar et Kama, chargées de collaborer à la mise en Suvre de la Solution finale et au massacre de la population serbe.


 Comment se fait-il que bon nombre de "pacifistes" défendent le terroriste Yasser Arafat, qui n'est jamais habille autrement qu'en uniforme et qui a un symbole de parti sans ambiguite aucune ? Pourquoi des gens qui se disent de gauche manifestent pour soutenir un nationaliste militariste raciste, lequl, s'il était européen, ils n'hésiteraient pas à classer dans "extrême-droite" ? 

Pour ceux qui croyent encore que Yasser Arafat mérite son prix Nobel de la paix :
regardez bien l'image : fusils. grenade. Israël en entier. (ceci est le logo officiel du parti de Yasser Arafat, je l'ai trouvé sur son site officiel www.fateh.net)

terrorisme : Usage systématique de la violence (attentats, destructions, prises d’otages, etc.) auquel recourent certaines organisations politiques pour favoriser leurs desseins.

The Movement for the National Liberation of Palestine (Fatah).Note the grenade and crossed rifles, superimposed on the map of Israel. This emphasizes the dedication of Fatah, along with the other "liberation" groups, to the "armed struggle" against Israel, a euphemism for terrorism against civilians.

Founded in the early 1960s by the Egyptian-born Yasser Arafat and friends of his in Algeria, Fatah was originally opposed to the founding of the PLO, which it viewed as a political opponent. Backed by Syria, Fatah began carrying out terrorist raids against Israeli targets in 1965, launched from Jordan, Lebanon and Egyptian-occupied Gaza (so as not to draw reprisals against Syria). Dozens of raids were carried out eachyear, exclusively against civilian targets.

"Fatah" is a reverse acronym of the Arabic, Harekat at-Tahrir al-Wataniyyeh al-Falastiniyyeh. The word "Fatah" means "conquest by means of jihad [Islamic holy war]".

sinon il y a les factures d'Arafat :
affiches pour les martyrs des Brigades des Martyrs d'Al Aqsa, Coût de l’apposition des photos personnelles de ces martyrs sur des panneaux de bois, Coût des cérémonies commémoratives pour des martyrs, Coût des fournitures électriques et de diverses substances chimiques (pour la fabrication d’explosifs et de bombes), Coût des balles...

les paroles d'Arafat
 :" Vivent nos martyrs! Un martyr à Jérusalem vaut soixante-dix martyrs ailleurs, car nous sommes en terre sainte ". " Nos ennemis ne comprennent pas qui nous sommes. La mère d'un martyr ne pleure pas la mort de son fils. Elle se réjouit qu'il ait tué autant de Juifs. Et elle dit : j'ai d'autres enfants disponibles pour le martyre "

regardez bien le logo de ce site palestinien officiel... www.mopa.gov.ps

Eh oui! Arafat veut Israel en entier!