Quelle cruauté...
Après leur départ, le préau ressemble à un décor de fait divers : des sacs éventrés, des fringues éparpillées un peu partout. Les voleurs de vêtements ne s'embarrassent pas de nettoyer après leur passage. Ils laissent un souk propre à déprimer les concierges. La police les connaît. Parfois, pour l'exemple, elle en pince un et l'oblige à remettre dans la boîte les habits dérobés comme l'autre soir au pied des voies couvertes de Saint-Jean. (TdG)
Par Turion, sous Suisse, Forces du désordre, Insécurité ("sentiment" d'), le 2006-08-21