ils en ratent pas une ces verts...
Soumis aux contrôles réguliers de la police, Artemis ouvre plus difficilement ses portes aux travailleurs sociaux. "On nous en interdit l'accès, déplore Martina Schmiedhofer, la maire adjointe (Verts) chargée des affaires sociales du quartier de Charlottenburg. "On aimerait interroger les prostituées, savoir si elles travaillent librement, quel genre de prestations on leur demande..." L'élue redoute qu'Artemis fasse de l'ombre aux petites maisons closes de quartier : "Les prostituées de Berlin ne croulent pas sous le travail. Nous sommes dans une ville pauvre. Les gens ont peu d'argent à consacrer à cela." (Le Monde)